Message de Señor
Seulement une semaine depuis notre arrivée et on se sent déjà madrilène pur laine. Le rythme de vie nous est rentré dedans sans crier gare et nous nous surprenons à nous lever à 8h30/9h00 sans trop stresser. Puis vient le temps de prendre un café avec les autochtones-qui-parlent-plus-vite-que-leur-hombre à la tasca du coin, ensuite on avale un bocadillo (sandwich simplet composé de baguette et de viandes, jamais de légumes !!) et une caña (bibinne) à 11h00. Vient un petit repas léger du midi à 14h00, un en-cas de tapas à 18h00/19h00 avec l'apéro (vino ou vermouth pression !!) et enfin le repas du soir, pas avant 21h00, les restaurants n'étant pas ouverts... Malgré le fait que nous ne mangions pratiquement pas au restaurant le soir, nous n'avons jamais vraiment faim avant le milieu de la soirée donc nous ne couchons pas avant 23h30 ou 24h00...d'où le lever à 8h30 !!!
Les gueuletons de soirée sont habituellement composés de ce que l'on déniche dans un des nombreux marchés du coin ( marchés couverts où l'on retrouve poissonniers, bouchers, charcutiers, volailliers, tripiers, fromagers, marchands de fruits et légumes frais et épiciers). Pour un cuisinier, le pied. Pour la blonde du cuisinier, qu'est-ce que c'est long... /qu'est-ce qu'y fait chier... mais bon, elle se plaint pas, au contraire.
C'est aussi une occasion de parler avec le "local" : on s'essaie à commander en espagnol mais on nous répond souvent en expressgnol, un dialecte pas comprenable surtout s'il est parlé par un portugais... Il arrive que nous tombions sur un ti-vieux qui parle moins vite ( ou sur un vendeur qui trippe sur F. ). Bingo! il a trouvé des clients pour le reste du mois. Nous, ça nous arrange pis lui, ça lui fait faire des affaires. À partir d'aujourd'hui, on watche l'âge d'or pis les marchettes à toutes nos sorties.
Demain, une leçon d'histoire ( Espagne et Madrid ) et un guide des quartiers à surveiller.
Seulement une semaine depuis notre arrivée et on se sent déjà madrilène pur laine. Le rythme de vie nous est rentré dedans sans crier gare et nous nous surprenons à nous lever à 8h30/9h00 sans trop stresser. Puis vient le temps de prendre un café avec les autochtones-qui-parlent-plus-vite-que-leur-hombre à la tasca du coin, ensuite on avale un bocadillo (sandwich simplet composé de baguette et de viandes, jamais de légumes !!) et une caña (bibinne) à 11h00. Vient un petit repas léger du midi à 14h00, un en-cas de tapas à 18h00/19h00 avec l'apéro (vino ou vermouth pression !!) et enfin le repas du soir, pas avant 21h00, les restaurants n'étant pas ouverts... Malgré le fait que nous ne mangions pratiquement pas au restaurant le soir, nous n'avons jamais vraiment faim avant le milieu de la soirée donc nous ne couchons pas avant 23h30 ou 24h00...d'où le lever à 8h30 !!!
Les gueuletons de soirée sont habituellement composés de ce que l'on déniche dans un des nombreux marchés du coin ( marchés couverts où l'on retrouve poissonniers, bouchers, charcutiers, volailliers, tripiers, fromagers, marchands de fruits et légumes frais et épiciers). Pour un cuisinier, le pied. Pour la blonde du cuisinier, qu'est-ce que c'est long... /qu'est-ce qu'y fait chier... mais bon, elle se plaint pas, au contraire.
C'est aussi une occasion de parler avec le "local" : on s'essaie à commander en espagnol mais on nous répond souvent en expressgnol, un dialecte pas comprenable surtout s'il est parlé par un portugais... Il arrive que nous tombions sur un ti-vieux qui parle moins vite ( ou sur un vendeur qui trippe sur F. ). Bingo! il a trouvé des clients pour le reste du mois. Nous, ça nous arrange pis lui, ça lui fait faire des affaires. À partir d'aujourd'hui, on watche l'âge d'or pis les marchettes à toutes nos sorties.
Demain, une leçon d'histoire ( Espagne et Madrid ) et un guide des quartiers à surveiller.
1 commentaire:
Señor,
ça te va bien l'Espagne...et ton fils est bien mignon mais faudrait maintenant voir une photo de Señora.
Comme c'est agréable de vous lire les deux... En tous cas nous ce soir on s'en va jouer au Cent'd'achats... Et il fait 3 degrés dehors... En fait ça valait pas vraiment la peine de quitter ce beau pays blanc. Vous savez pas ce que vous manquez...
Vous boirez un vermouth en pensant à moi,
Devinez qui xx
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